mardi 23 février 2010

Du snobisme de certains thés


Dans les livres d'un auteur que j'adore, Rosamunde Pilcher, je me retrouve régulièrement à savourer -par l'intermédiaire de l'héroïne- un délicieux thé fumé au coin de la cheminée. Soit dit en passant, dans ses livres, l'endroit est plus souvent propice à siroter un whisky qu'une eau chaude parfumée.
Elle précise toujours qu'il s'agit de la variété lapsang souchong. Alors à chaque fois que je relis un de ses livres, j'ai une envie terrible de me préparer tendrement du lapsang souchong... et je n'en ai jamais sous la main bien sûr.






Bon ben voilà, j'en ai trouvé, j'en ai acheté,



et j'en ai bu, en ayant l'impression bizarre de boire du cochon fumé et l'envie gênante d'aérer la pièce au lieu de savourer!
Et zut, encore un mythe qui disparaît?

et puis non, quand même, j'en boirai encore, juste histoire de me replonger dans Retour en Cornouailles, juste un peu. Ou alors dans Solstice d'Hiver, et ses couleurs d'Ecosse...





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